Les betteraves ne sont donc plus concernées par le risque d’attaque de pucerons : la protection aphicide n’est plus nécessaire. En revanche, les betteraves semées en avril couvrent entre 20 et 70 % de la surface du sol. Sur ces parcelles, il est nécessaire de maintenir la surveillance des pucerons. Les premières taches de jaunisse étaient déjà visibles au sud de Chartres en Eure-et-Loir le 12 juin.
Le temps humide est propice à l’apparition du mildiou et des bactéries Pseudomonas, mais aucun traitement n’est à effectuer, selon l’ITB.
Les tout premiers charançons sont observés dans le sud de la Seine-et-Marne.
Les désherbages ont été très efficaces, même parfois un peu trop puisque l’on note des phénomènes de phytotoxicité sur les betteraves.
La surveillance de la cercosporiose est enclenchée, mais il n’y avait pas encore de symptôme visible au 12 juin.